Forcément, quand nous nous sommes rendus à la réserve, c’était marée basse. Les oiseaux étaient tous partis. Et la buvette était fermée (pas de plan de repli, donc).
Avec toute notre bonne volonté, on a quand même déambulé à travers les roselières pour chasser l’oiseau rare. Sur un parcours de 6 kilomètres, des cabanes d’observation permettent de se mettre à l’affût et d’observer les volatiles. Située à l’embouchure du delta de l’Eyre, la réserve sert de point de refuge aux oiseaux migrateurs.
Le cadre invite à la contemplation. A guetter en silence les oiseaux, cachés, le souffle légèrement coupé. Cigognes, hérons, grues et spatules blanches. En fonction de l’époque dans l’année, des flux migratoires (et de votre bonne fortune), les spécimens à voir sont variés.
Ces photos datent d’une balade de l’année dernière. J’avais envie de me replonger dans cette ambiance particulière. Nous avons vu peu d’oiseaux. Notre expérience était plutôt un epic fail, mais j’en ai tiré pour la prochaine fois des résolutions :
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