Cette drôle de cabane de pêcheur, juchée sur pilotis au bout d’un ponton, s’appelle un carrelet. On en trouve environ cinq cents le long de l’estuaire de la Gironde.
Elles enjambent les rives boueuses et se profilent au-dessus de l’eau. Elles ont toujours l’air brinquebalant.
Quand j’en vois, ça me donne envie de m’y asseoir avec un bon bouquin, un verre de blanc et de guetter le mascaret. Peut-être même que je chanterais du Cabrel.
J'en avais marre d'être sous pression, comme une cocotte-minute prête à exploser. D'avoir des pensées…
Texte publié dans un recueil, aux Editions Gallimard, en 1993. En bibliothèque. Ou ici sur…
La vie des artistes et des créatifs titille ta curiosité, et tu veux mieux vivre…
Ils s'appelaient Hector, Ernest, Sidonie. On les regardait nager dans des eaux semi-troubles à bulles.…
“Je ne peux pas m’en empêcher.” Je croque des cookies et j’aspire du Cherry Coke…
Ca a trotté dans ma tête. Je me suis tâtée, puis j'ai sauté dans le…