Le vent souffle et époustoufle. Les cimes des arbres dansent la carioca. C’est le déluge dehors.
J’imagine la côte, la puissance des vagues, le grondement des rouleaux qui gonflent.
Je sortirais l’appareil et je photographierais la nature. Ce serait furieux.
Et puis, ce serait sans doute flou.
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2 réactions
Oui, là, je crois qu’il vaut mieux rester à l’abri!
On est bien d’accord, Anne !